REVUE DE PRESSE - SNACKPOINT EATERS VS BULLDOGS DE LIEGE 8 JANVIER 2023


06 January 2023

C’est la reprise pour les Bulldogs 
 
Après une trêve de trois semaines, c’est la reprise en BeNe League ce week-end avec un choc belgo-hollandais face à Geelen ce dimanche à 19h. 
 
Les Bulldogs de Liège sont solides leaders au classement avec pas moins de dix-sept points d’avance sur La Haye et dix-huit points d’avance sur Heerenveen qui compte cependant… quatre matches de moins. Et Herentals est pointé à dix-neuf longueurs avec un match de moins !
 
« Les joueurs ont profité de la trêve hivernale pour recharger les accus et pour se soigner. C’est le sprint final avant les playoffs, avec dix matches au programme et tous seront difficiles », indique Louis Lette, porte-parole des Bulldogs.
 
Ce dimanche, à 19h, les hockeyeurs liégeois se rendront à Geleen pour le traditionnel choc belgo-hollandais. « Les deux villes ne sont distantes que de cinquante kilomètres et de nombreux joueurs ont évolué pour les deux clubs. C’est cela qui donne toujours du piment à ces rencontres. Geleen voudra se refaire une santé devant son public. Actuellement, cinquième au classement général, Geleen doit tout faire pour rejoindre Herentals, quatrième, pour obtenir l’avantage de la glace pour les playoffs », précise encore Louis Lette.
 
Mais la poisse s’acharne sur les Liégeois cette saison au niveau de l’effectif. Ce dimanche, ils seront toujours privés de Sam Taci et de Renzo Meulenbeek, blessés, ainsi que de Boet Van Gestel, suspendu, et surtout du capitaine liégeois, Jordan Paulus, blessé à l’entraînement.
 
« Adepte d’un jeu qui allie pressing, rapidité, intensité et physique, Geleen est toujours difficile à manier dans sa patinoire. Les deux équipes se sont déjà rencontrées trois fois avec trois succès liégeois (3-0 à Liège, 1-3 à Geleen et 4-1 à Liège le 10 décembre dernier, mais avec deux buts inscrits dans les deux dernières minutes. Les Bulldogs devront donc montrer le même esprit de corps ce dimanche pour aller conquérir la victoire », conclut Louis Lette.